Gérard Caudron : Notre ville est l’une des plus « vertes » du pays. Plus de 35% de la surface communale sont végétalisés ; le domaine public compte près de 250.000 arbres et le domaine privé presque autant…
Oui des arbres sont coupés sur la ville : si cela relève du domaine privé c’est un choix des propriétaires. Je n’y peux rien. Si cela concerne le domaine public il s’agit uniquement de situations où les arbres ont été diagnostiqués comme dangereux, ou parfois malades, ce qui n’est pas toujours perceptible au premier regard d’ailleurs.
Mais oui, nous avons initié une nouvelle dynamique de (re)plantation au service de la transition écologique, de la biodiversité, de la « ville nourricière » et surtout du mieux vivre !
C’est désormais un enjeu vital pour nos sociétés et pour la planète.
C’est pourquoi nous continuons à planter davantage et surtout de façon qualitative, en privilégiant des essences porteuses de biodiversité, adaptées aux évolutions du climat et durables dans le paysage urbain.