Gérard Caudron :
Je ne suis pas médecin et je ne connais donc pas toutes les réalités de cette maladie épidémique.
Je l’ai d’ailleurs dit il y a plusieurs semaines dans mes carnets en distinguant « probabilité » et « espérance mathématique »,
autrement dit, en affirmant que quand on a une probabilité faible mais si le risque est énorme on ne peut raisonner de la même façon qu’avec une probabilité plus forte multipliée par un risque faible.
Alors quand je lis que c’est débattu « au plus haut niveau de l’Etat », je me dis que quand une décision sera prise, le « représentant de l’État » comme maire que je serai alors l’appliquera…
comme pour les écoles, les retours d’Italie…à ce jour
J’espère qu’on n’en arrivera pas là … mais personne, à ma connaissance, ne peut nier les risques…, même si chez certains il y a sûrement des « arrières pensées »…
L’heure pour tout responsable qui se respecte est à la vigilance et au respect de nos obligations.